Paulhan, Fréderique

[530] Paulhan, Fréderique. = Von Ribot beeinflußt. Der Geist ist synthetische Tätigkeit (»activité synthétique«) als Funktion des Zentralnervensystems. Der Wille ist kein besonderer Volitions-Vorgang, sondern die Verbindung einer Vorstellung mit der Tendenz zu einer Handlung (»la représentation prépondérante, presque exclusive d'un acte, représentation accompagnée d'une tendance prépondérante à accomplir cet acte«). P. ist Anhänger des psychophysischen Parallelismus.

SCHRIFTEN: L'activité mentale, 1889. – Les caractères, 1894; 3. éd. 1909. – Les mensonges du caractère, 1905. – Physiologie de l'esprit, 4. éd. o. J. – Les phénomènes affectives, 2. éd. 1901. – Le mensonge de l'art, 1907 (gegen die Ableitung der Kunst aus dem Spiel). – La fonction de la mémoire et le souvenir affectif, 1904. – L'abstraction, Revue philos. 27-28. – La logique de la contradiction, 1911. – La morale de l'ironie, 1909. – Psychol. de l'invention, 1900, u. a.

Quelle:
Eisler, Rudolf: Philosophen-Lexikon. Berlin 1912, S. 530.
Lizenz:
Ähnliche Einträge in anderen Lexika

Eisler-1912: Paulhan