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Vienne.
Londres ce 26 Octobr. 1790.
Monsieur!
Par une personne attachée à S.A.R. le Prince de Galles j'apprends votre dessein de faire un voyage en Angleterre, et comme je souhaite de connoître personellement des gens à talents, et que je suis actuellement en état de contribuer à leurs avantages, je vous offre Monsieur la place de Compositeurs ont eus1 en Angleterre. Si vous ètes donc en état de Vous trouver à Londres envers la fin du mois de Decembre prochain 1790 pour y rester jusqu'à la fin de Juin 1791 et dans cet espace de tems de composer au moins deux Operas ou sérieux ou comiques, selon le choix de la Direction, je vous offre trois cents livres Sterling avec l'avantage d'écrire pour le concert de la profession[67] ou toute autre salle de concert à l'exclusion seulement des autres Théatres. Si cette proposition peut vous être agréable et vous ètes en état de l'accepter faites moi la grâce de me donner une réponse à vue, et cette lettre vous servira pour un Contract.
Jai l' honneur d'être
Monsieur
Votre très humble Serviteur
Rob. May O'Reilly. 2
Ayes la bonté de diriger
au Panthéon à Londres.
1 Diese Wörter geben keinen Sinn. Wo der Fehler steckt, bleibt dahingestellt.
2 Der Schreiber des Briefes hatte damals die Direction der italienischen Oper in London, die nach dem Brande des Ring's-Theaters ins Pantheon übergesiedelt war. Wir entnehmen Ersteres Reichardt's Musikalischem Wochenblatt (»Studien für Tonkünstler« ) vom Jahre 1791 Seite 27, wo aus London am 1. Juli 1791 gemeldet wird: »O Reilly wird ohne Zweifel die Direktion von der großen italiänischen Oper fürs künftige Jahr verlieren«. Ueber Mozart's Absicht, nach London zu reisen, s.O. Jahn's Biogr. 2. Ausg. I. 712, II. 466. Ueber das Pantheon findet man Näheres in C.F. Pohl's »Haydn in London« S. 56 f.